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 (m) JOSEPH GORDON-LEVITT ▬ that will be a long, and complicated story if we had one...

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Selvin Heather-Lane
Selvin Heather-Lane

• Messages : 9
• Date d'inscription : 30/01/2011


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MessageSujet: (m) JOSEPH GORDON-LEVITT ▬ that will be a long, and complicated story if we had one...   (m) JOSEPH GORDON-LEVITT ▬ that will be a long, and complicated story if we had one... Icon_minitimeDim 30 Jan - 13:23

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PRENOM NOM

© tumblr.

Bonjour, alors voici l'histoire de ce personnage du moins les traits essentiels pour le reste je laisse votre imagination faire le reste :
♥ Il est né à NY et y a toujours vécu.
♥ Il est fils unique et ses parents ne se sont jamais occupés de lui. Il est d'un niveau financier plutôt aisé.
♥ Il a toujours aimé faire la fête. C'est d'ailleurs lui qui a donné à Selvin son goût pour la fête. Autrefois il se droguait mais depuis deux ans il est clean. La seule raison pour laquelle il s'est rendu dans cette fête il y a peu c'est parce qu'il était sûr d'y trouver Selvin.
♥ Il a toujours aimé voyager c'est pourquoi quand il a eut la chance de pouvoir étudier trois ans à l'étranger il a sauté sur l'occasion.
Je tiens à préciser que si vous voulez d'avantage cerné le personnage, je vous invite à lire ma présentation.




JOSEPH GORDON-LEVITT ♣ LIBRE





SELVIN

© DODIXE. Extrait de ma présentation :
Une fête à laquelle j’avais longuement hésité à me rendre mais pour laquelle ma colocataire avait longuement insisté. A présent, je me questionne peut être savait-elle ? Je ne le saurais probablement jamais et en un sens cela n’a pas vraiment d’importance. Ce jour là, je portais mes bas en dentelle noirs, ma robe bustier Channel et mes talons vertigineux de Christian Louboutin. En un sens l’emblème même de l’outrecuidance, de la suprématie du capitalisme, l’ostentation à l’état pur. J’arrivais longtemps après le commencement officiel de la soirée. La fête avait déjà pas mal dérapé alors que j’entrais dans l’appartement. Celui-ci ne me disait absolument rien mais je ne m’attardais pas sur les détails de son architecture, je n’étais là pour cela. J’attrapais la première bouteille de vodka qui me tombait sous la main et buvais au goulot cet alcool qui me brulait la gorge. C’était ma première fête depuis trois mois. Je pouvais dire que j’étais clairement en manque. Elle se vida rapidement. Beaucoup trop. Je m’enfilais une bouteille entière cette fois de jet vingt sept. Déjà je me sentais mieux, plus vivante, plus chancelante, plus joyeuse. Je finissais par me laisser tomber sur un canapé une place vert émeraude. Et là, je fermais les yeux écoutant les sons qui s’échappaient des enceintes probablement non loin de moi. Je ne savais pas vraiment j’étais trop concentrée sur le fait de ne pas céder à mon envie d’encore boire quelques verres –litres– d’alcool. Mais non, je ne devais pas faiblir. Finalement sans que je ne comprenne vraiment pourquoi, je sombrais dans les limbes. La fatigue ou l’ennui peut être. Je ne sais combien de temps plus tard, je me réveillais, j’avais la gorge sèche et le crane en miette. Je me relevais chancelante et trouvais étonnement rapidement le chemin de la cuisine. Je sortais un verre et ouvris le robinet. Chose que je n’avais pas faite depuis bien longtemps lors de ses soirées. Ahm, je me sentais déjà mieux, je répétais l’opération bien trois fois avant de me retourner les paupières clauses et de m’appuyer contre le lavabo. Mais un regard posé sur moi, un regard que je sentais persistant, qui s’attardait sur moi, me força à ouvrir les yeux. Alors que j’avais déjà un flot d’insultes en réserve, la personne que je découvrais appuyée contre la porte me déstabilisa. Trois ans, ducon. Trois ans que tu as disparu. Comment oses-tu ? Je lui adressais un regard noir et fermais à nouveau les yeux. Qu’il aille au diable, cet idiot. J’entendis alors des bruits de pas et je pus sentir sa présence non loin de moi me forçant à nouveau à ouvrir les yeux. Il était là, à quelques centimètres de moi. Je pouvais sentir son souffle. Ses deux mains m’entouraient posées sur le lavabo. Mon regard dériva malgré moi sur ses lèvres. Ses lèvres auxquelles j’avais goûté autrefois, ces lèvres qui m’avaient tant manqué pendant si longtemps… Ni une ni deux, je fondais sur ses lèvres. L’embrassant jusqu’à plus soif, follement, sauvagement, langoureusement. Comme un drogué qu’on avait privé de sa dose depuis si longtemps et qui se trouvait devant celle-ci. J’avais cédé, j’avais faibli encore une fois. Il m’entrainait vers la table. Je m’y assis, enroulant mes jambes autour de sa taille sans jamais cesser de l’embrasser. Il détacha ses lèvres des miennes pour glisser des baisers dans mon cou. Je m’agrippais à sa veste de costume. Bon dieu, comment faisait-il pour me faire autant d’effet même après toutes ses années ? Et là encore une fois, je me laissais aller dans ses bras. Comme s’il n’était jamais parti. Une osmose comme je n’en connaissais avec personne d’autre, assurément je ne pourrais jamais le nier. Faire l’amour avec cet homme comme vous diriez c’était vraiment faire l’amour. C’était comme des retrouvailles ce soir là. Pourtant je finis par me relever épuisée et par descendre de la table. J’avais déjà mal au dos mais j’étais comblée, apaisée. Je lui en voulais pour cela aussi. Il n’avait pas le droit. Je me rhabillais en vitesse sous son regard baladeur puis finis par lui balancer ses affaires. Ensuite, je déverrouillais la porte résolue à rentrer chez moi et à oublier cette soirée, à l’oublier pour de bon. Pourtant il se précipita à ma suite, j’accélérais d’avantage pour parvenir à la porte avant qu’il ne me rattrape. Je ne voulais pas lui parler, je ne voulais pas le voir. Je ne voulais pas qu’il rentre à nouveau dans ma vie. Non, je ne voulais pas lui céder à nouveau car je m’en sentais tout à fait capable… Je parvenais à sortir dehors de l’appartement avant qu’il ne me rattrape fort heureusement. Mais à mon grand damne l’ascenseur ne vint pas avant que lui n’arrive. Je lui tournais le dos résolue à ne pas flancher. « Alors maintenant Slevichou tu pars sans même un au revoir. », m’interrogea-t-il alors que je pouvais imaginer son sourire amusé aux coins des lèvres. Je me mordais la lèvre puis rétorquais acide : « Non, yy. Cela est ta spécialité. ». Il se plaça à mes côtés et appuya à son tour sur le bouton de l’ascenseur. « Laisse-moi au moins te raccompagner, Selvin. » J’aurais aimé pouvoir lui dire non. Mais malheureusement j’ignorais où se trouvait mon chauffeur et j’avais oublié mon sac à main à l’intérieur. Comme en écho à ses paroles l’ascenseur s’ouvrit et nous nous engouffrâmes à l’intérieur. Tête baissée et bras croisés, j’étais fermement décidée à ne pas céder à la tentation de ne serait-ce que croiser son regard. « Tu es magnifique, Selvie. » Beau parleur, avais-je envie de hurler. Alors que je posais mes mains sur mon ventre qui me criait le contraire. « Toi en revanche tu n’as pas changé, toujours aussi con. », répondis-je amère. Ne pas craquer non. Résister. Préserver la dignité qu’il me restait. Nous franchîmes à présent le hall d’entrer. Il poussa la porte en premier et me la tint ouverte. Amateur. « Par contre, je suis garé loin. Et il n’y a pas beaucoup d’éclairage, tu ferais mieux de rester près de moi », me prévint-il avec son éternel sourire amusé que cette fois je ne ratais pas même avec la faible lumière des réverbères. Hum… Hum… Baisse la tête et respire. Non tu vas résister. Foutu magnétisme de merde. J’écoutai le bruit de mes talons qui claquaient sur le béton alors que je marchais à ses cotés respectant la distance réglementaire. Non, je ne lui ferais jamais ce plaisir. Pourtant lorsque sa main attrapa la mienne, je sursautais mais ne retirait pas la mienne. Non. Je ne pouvais tout bonnement pas. Une fois de plus je gardais la tête baissée. Le bruit du déverrouillage de la portière me ramena à la réalité des choses. Il m’avait laissé tomber il y a trois ans. Sans même un coup de fils, ni même un mail depuis… C’était un connard, point. Je ne devais pas me laisser avoir une seconde fois… Même s’il était terriblement beau. J’entrais dans l’habitacle et m’interrogeais soudain : se rappelait-il où j’habitais depuis tout ce temps ? « Penses-tu te souvenir où se trouve ma maison ? », l’interrogeais-je en fixant la poignée de ma portière. Il tourna les clés dans le contact, et le moteur rugit et démarra instantanément. Oui c’était cela, les voitures de courses. Les porches dans le cas présent. « Ne t’inquiètes pas, je sais toujours ce que je fais. », déclara-t-il. Prétentieux, manipulateur, idiot. Je le hais. Je croisais mes jambes tout en regardant le paysage défilé à une allure incroyable. Voilà une chose que je trouvais bien dommage avec les voitures de course, et les personnes qui conduisaient beaucoup trop vite. Soudain, je réalisais : « Gare-toi dans la rue parallèle à la mienne, s’il te plait. » Il rétorqua instantanément surpris un « Pourquoi ? ». « Parce que je préférerais éviter qu’on sache que tu me ramènes. ». Je préférerais éviter que Lywen me voie rentrer avec toi précisément. « Pourquoi ton petit ami sera fâché ? », plaisanta-t-il avec un sourire amusé. Je me tournai alors vers lui plantant mon regard dans le sien. Voyons si je peux lacérer ton cœur comme tu lacères le mien. Il venait de couper le contact. « Oui, c’est exactement cela. », mentais-je avec aplomb. Et là, j’ai perçu distinctement dans son regard l’espace de quelques secondes : le regret. Si vous saviez comme cette infime micro-émotion qui l’a parcouru, m’a réchauffé le cœur, ce soir là. Je me sentais forte, puissante. Sauf que j’avais commis une erreur. Le regarder droit dans les yeux. Cependant, ce soir là j’ai pris conscience d’une chose : mes actes, mes paroles avaient un véritable impact sur lui. J’en étais sûre. « D’ailleurs, il me tarde de le rejoindre. » Clac. Je tirais sur la poignée de ma portière comme pour vérifier si je n’avais pas rêvé. Non. Il n’avait quand même pas osé ? Si, il avait verrouillé les portes. Je lui lançais un regard noir auquel il répondit par un sourire amusé. Aaah il voulait jouer ? Je retirais mes talons. Me soulevais et m’asseyais sur la boite à gants près du levier de vitesse. Alors que je m’apprêtais à tendre le bras pour déverrouiller les portières, il m’attrapa par la taille me donnant l’impression d’être une plume et m’assit sur ses genoux. Pendant les dernières minutes de bon sens qu’il me restait alors que je me trouvais si proche de lui, je déverrouillais les portières. Bien décidé à sortir mais d’abord à récupérer mes chaussures, je tentais de m’échapper de son emprise mais en vain. « Lâche-moi, yy. », dis-je froidement. « Non », rétorqua-t-il sur le même ton. Je le poussais, le frappant de toutes mes forces pour qu’il me lâche mais son visage demeurait impassible. « Non, je t’ai laissé me filer entre mes doigts trop longtemps, Selvie. » Connard. Tu n’as pas le droit. Non tu n’as pas le droit de prononcer de telles paroles alors que tu m’as laissé pendant si longtemps. Il a libéré mes hanches cet inconscient. Il devait penser que ces paroles auraient un tout autre impact mais non je me relevais et me contorsionnais pour passer de l’autre côté, j’enfilais mes chaussures et sortais de la voiture. Je claquais la portière et traversais la rue. Le silence de la nuit fut brisé par le bruit d’une alarme de voiture qu’on activait. J’accélérais ma course vers ma maison. Pourtant cette fois sans que je comprenne comment il se trouva rapidement devant moi. « Qu’est-ce que tu me veux encore, hein ? Je ne suis pas ta chose. Trace ton chemin. Ou du moins laisse-moi rentrer chez moi. »« Non. Non. Enfin, tu m’as promis de me laisser te raccompagner. Et je ne t’ai jamais considéré comme ma chose. » « Oh je t’en prie, garde tes beaux discours pour tes blondes écervelées. Je ne suis pas idiote. Tu es partie trois ans, yy. Trois ans sans nouvelle. Je pensais qu’au moins notre amitié valait plus que cela… Mais écoutes, j’avais clairement tort. » Il se stoppa dans sa marche et se planta devant moi un sourire amusé sur ses lèvres. Ce sourire commençait sérieusement à me taper sur les nerfs. « J’étais à la faculté. Je suis parti étudier à l’étranger, Selvie. » « Et alors le téléphone cela n’existait pas là-bas ? ». Dis-moi, que non, je t’en supplie. « Bien sûr que oui… Mais à quoi cela aurait-il servi ? A nous déchirer un peu plus ? A nous faire languir d’avantage ? Je ne pense pas qu’on ait eu besoin du téléphone pour cela… » Il me fixe intensément. Beaucoup trop intensément. Finalement c’est lui qui m’embrassait en premier doucement. Beaucoup trop. Décidément, il avait oublié les mesures. Je lui rendais à nouveau son baiser plus longuement. Il m’avait tant manqué. Cela me déchirait les tripes. Il détacha ses lèvres des miennes. « Et le petit-ami, il ne va pas sortir tout d’un coup et me casser la figure, hein ? Parce que sinon je cours dans ma voiture chercher ma batte de baseball. » « Et moi, tes blondasses vont pas crever mes pneus ? Et pour mon petit ami, non, il a un fusil c’est beaucoup plus rapide. En plus, c’est un silencieux. » « Y en a pas, t’as de la chance. Ah ouais, merde alors. Je devrais peut être en profiter, non ? » « Non. » Pourtant il se pencha quand même et posa ses lèvres sur les miennes. Je m’éloignais et continuais à marcher. Je ne tardais pas à me retrouver devant le portillon. Je me retournais pour chercher du regard yy. Il m’adressa un sourire rayonnant. De la neige fondue, voilà ce que j’étais. Un vieux Chamallow dégoutant. Finalement j’avançais vers lui et l’embrassais encore et encore. Effleurant ses lèvres puis les touchant vraiment. Je m’éloignais de quelques centimètres : « En faite, il n’y a pas de petit-ami. ». « Ca tombe bien, je tiens à la vie. »
Voilà, comment un mois plus tard, c'était moi qui partait. Je quittais la ville, les fêtes, la faculté, les drogues, le sexe, l'alcool, les bonnes résolutions... Je quittais YY sans un au revoir. Direction Ballylocken, un petit village d'Irlande.


LOON

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Dernière édition par Selvin Heather-Lane le Dim 30 Jan - 21:49, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: (m) JOSEPH GORDON-LEVITT ▬ that will be a long, and complicated story if we had one...   (m) JOSEPH GORDON-LEVITT ▬ that will be a long, and complicated story if we had one... Icon_minitimeDim 30 Jan - 13:31

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SCENARIO TERMINE, LIBRE ET TRÈS ATTENDU. informations complémentaires : Il est bien entendu vital pour mon personnage. Je ne demande pas de lignes minimum bien que vingt lignes en préférant la qualité à la quantité me satisferaient amplement Smile. Après la présence j'aimerais quelqu'un de présent 3/7 jours et qui puisse répondre 2 à trois fois par semaine en RP. Au niveau de l'avatar il n'est absolument pas négociable, je ne veux que Joseph . Après je crois avoir fais le tour. Si vous avez besoin de renseignements, au sujet du scénario je suis là où il peut y avoir d'autre renseignements dans ma fiche (ultra longue.) J'avoue j'ai beaucoup de mal à faire court avec ce personnage . Pour le nom & prénom, je n'ai pas voulu imposer car il est rare que les pseudos conviennent vraiment mais si vous désirez des idées de prénom : Dante, Noah, Hermès, Timothée, Léandre, Luckaël, Charles, Caësar ect sont des prénoms que j'aime beaucoup I love you . Voilà, en tout cas, je vous béni d'avoir lu mon scénario. Et je serais à votre service jusqu'à la fin des temps si vous décidez de prendre le rôle!
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